In Europe, organic products generate 21 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Un succès qui s’est accompagné d’une forte industrialisation des modes de production. Quant aux idéaux du commerce équitable, ils sont battus en brèche par ceux qui rémunèrent la main-d’œuvre à vil prix.
Enquête sur un business qui n’est pas exempt de pratiques scandaleuses.
L’enquête de Christian Jentzsch montre que l’explosion de la demande en produits bio a conduit à une industrialisation systématique des modes de production. Dans nombre de cas, celle-ci s’opère au détriment de l’environnement, des petits agriculteurs et de la qualité des produits. Car, de plus en plus, ce sont de grands groupes internationaux ou la distribution discount qui contrôlent le bio. Ici comme ailleurs, la loi du marché s’est imposée. A situation made possible by the multiplicity of certification bodies (more than 100 organic labels and brands in Germany alone), by the negligence of sometimes lax NGOs and by ultimately unrestrictive European regulations. As for the ideals of fair trade carried by the first followers of organic, ils sont battus en brèche par ceux qui rémunèrent la main-d’œuvre — paysans locaux, voire immigrés sans-papiers — à vil prix.
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