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Produits Light et Aspartame = Danger !

 

L’aspartame qui est utilisé dans la grande majorité des produits allégés est, à première vue, une innovation miraculeuse. C’est un édulcorant de synthèse qui permet de remplacer le sucre ordinaire et a même un pouvoir sucrant 200 fois supérieur au sucrose et au saccharose ! Il suffit donc de petites quantités pour avoir un goût sucré. Il est donc, à priori, l’ingrédient idéal pour aider une personne qui est soucieuse de sa ligne, ou faisant un régime, qui n’est ainsi plus obligée de diminuer les proportions des aliments qu’elle consomme (les produits light ont entre 10% et 25% de calories en moins).

Les produits light coûtent plus cher

Un autre intérêt, et non des moindres, est que l’aspartame coûte beaucoup moins cher que le sucre « classique » permettant aux industriels de faire des économies. Ceci n’empêche pas les produits light d’être significativement plus chers que leurs homologues « classiques ». La réaction du nutritionniste Jean-Philippe Zermati est sans appel : « Il est totalement inutile de consommer des produits allégés pour réduire le poids ou prévenir le surpoids. Ces produits n’empêchent pas de grossir (…), ils n’ont aucune influence positive, ils coûtent seulement plus cher ».

Les produits allégés incitent au contraire à manger plus et font même grossir !

Premièrement, un consommateur se dira plus facilement que le fait d’en consommer plus n’aura pas d’incidence sur son poids. Or c’est une grossière erreur! (Attention aux promesses des labels 0% par exemple). Deuxièmement l’aspartame est censé faire perdre du poids, or des chercheurs de l’Illinois ont menés une expérience sur des rats et arrivent étrangement à une autre conclusion :

Il y a deux groupes de rats. Le premier groupe reçoit comme nourriture du yaourt sucré (avec du vrai sucre : le glucose). Le deuxième groupe reçoit le même yaourt mais où le glucose a été remplacé par des édulcorants (aspartame, saccharine et xylitol). Ils ont constaté que le deuxième groupe avait pris 40% de poids en plus que le premier groupe !

Conclusion : les édulcorants poussent l’organisme à consommer plus de nourriture. En effet le corps s’attend à avoir du glucose et les calories associées (avec le goût sucré de l’aliment) mais n’en reçoit pas. L’organisme sera poussé à manger plus car continuera de réclamer ces calories et donc grossira d’avantage.

Nous voyons déjà clairement le problème des produits allégés sur leur but : manger plus léger et faire perdre du poids. Ceci n’est rien à côté des graves troubles occasionnés par l’élément clé des produits allégés : l’aspartame.

L’aspartame met en péril notre santé

Présent dans une multitude d’aliments tels que les desserts glacés, les sucrettes, les chewing-gums, les boissons (sodas, jus de fruits etc.), céréales, yaourts, glaçages, confitures … et même dans les médicaments (plus de 600 médicaments selon l’AFSSA), vitamines et suppléments de synthèse sans que pour ces derniers l’aspartame soit noté sur la liste des ingrédients. Nous le voyons, l’aspartame est partout, et pas seulement dans les produits light.

Que contient l’aspartame ?

L’aspartame (ou E951) se compose de :

  1. Phénylalanine 50% (un acide aminé)
  2. Acide aspartique 40% (un acide aminé)
  3. Méthanol 10% (alcool de bois)
  4. Dioxopipérazine ou DKP (quand l’aspartame se dégrade)

En effet, l’aspartame est stable à l’état sec mais se dégrade à 30°C où il devient très dangereux. Mais revenons tout d’abord aux effets des différents composés de l’aspartame :

La Phénylalanine


La phénylalanine est un acide aminé présent normalement dans le cerveau et apporté par l’alimentation. Il a été démontré qu’en ingérant de l’aspartame on pouvait avoir des taux trop élevés de phénylalanine dans le cerveau et dans le sang. Des taux excessifs peuvent diminuer la sécrétion de sérotonine et conduire à la dépression. Une étude a été faite sur des rats et a démontré que certains de ceux nourris à l’aspartame développèrent des tumeurs au cerveau contrairement au groupe référent (il faut également savoir que l’homme est beaucoup plus sensible que les animaux à l’aspartame). Le neurochirurgien Dr Russel Blaylock affirme qu’un taux excessif de phénylalanine peut provoquer de la schizophrénie et une attaque d’apoplexie (suspension brutale des fonction du cerveau).

L’acide aspartique

L’acide aspartique est un acide aminé qui provoque (dans sa forme libre c’est à dire non relié aux protéines) une élévation de neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau. En temps normal ils facilitent la transmission de l’information entre les neurones dans le cerveau. En excès « ils détruisent certains neurones en autorisant l’invasion de calcium en surdose dans les cellules ce qui déclenche une augmentation excessive de radicaux libres qui tuent les cellules nerveuses et crée des trous dans le cerveau » (Sortir & Choisir Autrement n°17). Ce processus de destruction des neurones se fait lentement et progressivement. Il faut par ailleurs qu’au moins 75% des cellules nerveuses d’une zone du cerveau soient tuées avant de pouvoir déceler une maladie chronique comme la sclérose en plaque, la perte d’audition, la perte de mémoire, les crises d’épilepsie, la démence du Sida, la maladie d’Alzheimer, de Parkinson etc.

Les acides aminés ne sont donc pas sans danger contrairement à ce que l’on peut croire, en particulier lors de transformations chimiques engendrées par la chaleur.

Le Méthanol

Aussi appelé alcool de bois, le méthanol est un poison dangereux ! Dans l’organisme il se dégrade avec la chaleur en Acide Formique et en Formaldéhyde (une neurotoxine mortelle). L’EPA (Agence de protection de l’environnement aux Etats-Unis) affirme que le méthanol « est un poison cumulatif compte tenu de la faible proportion éliminée après son absorption ». La dose limite journalière autorisée (DJA) de méthanol est de 7,8 mg/jour. Or en buvant un litre de boisson à l’aspartame on est à 56 mg de méthanol ! On dépasse donc très rapidement la dose autorisée.

Le vin et autres boissons alcoolisées contiennent également beaucoup de méthanol mais sont, eux, pourvus d’un « antidote » : l’éthanol le rend inoffensif pour l’organisme car empêche sa transformation en formaldéhyde qui est très toxique. Même si le vin contient beaucoup plus de méthanol que les sodas par exemple on ne peut pas les comparer en terme de toxicité.

Troubles dus au méthanol : trous de mémoire, maux de tête, névrite, troubles du comportement, engourdissements, bourdonnements d’oreilles, frissons, problèmes gastro-intestinaux, vertige, problèmes de vue ( vision obscurcie, embrumée, dommages rétiniens, perte de vue etc.).

Le formaldéhyde est cancérigène, nuit à la reproduction de l’ADN, altère la rétine et cause des malformations prénatales.

La DKP

La DKP est un produit dérivé du métabolisme de la phénylalanine qui est impliquée, entre autres, dans l’apparition de tumeurs au cerveau et provoque des modification du taux de cholestérol selon la toxicologue américaine Jacqueline Verrett. La DKP se synthétise dans les boisson contenant de l’aspartame après un stockage prolongé.

Effets constatés après consommation d’aspartame :

(source : sortir-autrement.com)

Pendant la guerre du Golfe les soldats ont bus de très grandes quantités de boissons à l’aspartame qui étaient, par la température ambiante, chauffées à plus de 30°C. Beaucoup d’entre eux ont développés des maux inconnus résultant d’un empoisonnement au formaldéhyde.

Entre 1983 et 1987, aux Etats-Unis, le taux de tumeurs a augmenté de 6% chez les hommes et de 11% chez les femmes, période qui coïncide avec la mise sur le marché alimentaire de l’aspartame.

Pourquoi l’aspartame n’est-il pas interdit ?

250 millions de personnes consomment quotidiennement de l’aspartame dans le monde (d’après sortir-autrement.com).

Le consommateur ne fait que rarement le rapprochement entre une migraine et une prise d’aspartame. Le fait que certains symptômes n’apparaissent que des années après la consommation renforce également cette idée.

Le pouvoir des industries chimiques et pharmaceutiques est énorme car elles arrivent à corrompre des agences gouvernementales tels que la FDA (Food and Drug Administration) aux Etats-Unis. Ils commanditent de fausses études sur l’aspartame, falsifient les données et dissimulent les dangers. D’après  sortir-autrement.com, « 40% d’entre elles furent financées par l’industriel Monsanto, producteur du produit ». L’aspartame est deux fois moins cher que le sucre et rapporte aux industriels plus d’un milliard de dollars par an !

En 1985, le toxicologue Adrian Gross affirme devant le congrès américain « Il n’y a pas l’ombre d’un doute, l’aspartame cause des tumeurs au cerveau… ». Malgré cela la FDA n’a pas enlevé l’aspartame de la liste des additifs alimentaires « sans danger ». Le nouveau responsable de la FDA de l’époque, le Dr Arthur Hull Hayes a réfuté sa propre commission d’enquête et autorisa même l’aspartame dans les boissons ce qui le rend encore plus dangereux.

En autorisant l’aspartame la FDA viole l’Amendement Delaney qui est sensé éviter l’introduction de substances cancérigènes tels que le méthanol (avec le formaldéhyde) et la DKP. Si une agence gouvernementale enfreint ses propres règles, sensées protéger le consommateur, qui le protègera en dernier recours ?

Quelle solution ?

Corinne Couget a publié dans son article « Aspartame : un poison violent ! » (paru dans Biocontact en 2005) que les effets indésirables de l’aspartame sont souvent réversibles. Elle propose en effet d’arrêter totalement, pendant 60 jours, la consommation d’aspartame, d’éviter les viandes rouges (qui contiennent naturellement de la phénylalanine), cuisiner soi-même les plats et de boire 2 litres d’eau par jour.

Au delà de cet essai il faut tout simplement lire les étiquettes et éviter d’acheter les produits contenant l’aspartame ou E951. D’après le Dr Russel Blaylock, tous les aliments transformés, ou presque, contiennent des excitotoxines : E621, GMS (Glutamate monosodique) qui sont tout aussi dangereux pour l’organisme. Nous en trouvons par exemple dans les chips, les soupes en sachets, les aliments de régime, les plats cuisinés, le jus de viande, les épices, les bâtonnets de crabe etc.

C’est une raison de plus pour cuisiner soi-même ses plats et éviter d’acheter des plats tout prêts. Comme le dit Yves Donadieu, « Ce n’est pas l’abondance de la nourriture qui fait la bonne santé, mais son excellence. »

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